Pour cause de déménagement dans notre nouvelle propriété dont le nombre de pièces avoisine celle de feu Bokassa ou de feu Omar Bongo, puisque nous avons ensemble une descendance dont le nombre est digne de celle d'un dictateur françafricain polygame, dans l'attente d'une connexion internet domestique, nous partageons avec Fantômette la tenue de ce blog que d'abord il est à moi. Si.
Merci à Fantômette d'assurer la maintenace artistique et créative de ce bout d'humanité numérique dont elle m'offrit une version papier pour mon anniversaire. Un chouette cadeau, même si ladite héroïne semble avoir ce matin les idées aussi noires que cette boue caraïbe.
Fabien
2 commentaires:
Ben, c'est-à-dire qu'il y a humain et "hum hein" (sorte de raclement de gorge quand on ne sait plus quoi dire). Le mot est proche surtout, quand comme ici, on a l'accent toulousain.
Mais ce matin, au travail, je n'ai vraiment pas envie de me tuer à la tâche, car quand d'autres l'ont fait pas plus tard que la semaine dernière en prenant malencontreusement un avion défectueux et que la direction patine dans des "hum" "l'année prochaine on fera une journée" "voui" "la vie continue", on se dit qu'on n'est vraiment que peu de chose et que "être humain" c'est vraiment un état d'esprit accessible à peu.
Certains humains savent aussi prendre leurs responsabilités. Des fois. Sans perdre leur humanité.
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