
Ce qu'on n'a jamais vécu.
Ce qu'on ne vivra jamais.
Si j'avais su que tu existais
Contre le sort qui résistait
Je t'aurais pistée et trouvée
Pour te sentir et t'éprouver
Je t'aurais alors reconnue
T'aurais enlevée au destin
Sans avoir peur de me voir nu
Pour nos érotiques festins
Art Mengo
Le temps perdu
Allez faire un tour sur Deezer pour l'écouter, cette chanson est géniale mais je suis tellement en forme que je n'arrive pas à le mettre en lien ici. C'est que Jean-Claude pense avec ses tripes, et qu'il a du mal à y remettre de l'ordre depuis quelques jours. Les écrivains souffrent parfois du syndrome de la page blanche. Est-ce aussi valable pour les écrivaillons ?
Boarf
3 commentaires:
Et ce qu'il nous reste à vivre. Parfois il ne faut pas s'appesentir sur le passé non vécu mais se réjouir de l'avenir prometteur. Et savoir vivre l'instant présent où chaque nuit une personne aimée vous tient la main, chaque jour elle vous réchauffe votre coeur, chaque instant n'est plus un gouffre de solitude.
Insolite cette pancarte !! Arf Tergal, qu'est ce que j'ai pu me moquer de ce pov' gars en BD ;)
L'homme est un solitaire perpétuellement angoissé, c'est pour ça que Jean-Claude va de ce pas rejoindre l'Eglise de Scientologie, maintenant qu'elle ne risque plus d'être dissoute, quand la main de Fantômette s'éloigne.
Et se raccrocher à des idées positives, en se disant par exemple que les salariés de Molex, même si le quart seulement ne sera pas au chômage, n'auront au moins pas été repris par France Telecom...
Enregistrer un commentaire