"Un homme au volant d’un 4x4. Devant lui, une femme traverse la rue avec son jeune labrador en laisse et s’attire quelques sourires attendris. Et pourtant, le toutou de Geneviève peut peser plus lourd sur la balance environnementale que Robert et sa grosse cylindrée. En tout cas, si l’on considère son empreinte écologique. Pour une année en effet, celle d’un chien de taille moyenne est de 0,84 hectare. En clair, il a besoin de 0,84 hectare de terres agricoles pour faire pousser la nourriture qui le régale annuellement. Tandis qu’une Toyota Land Cruiser de 4,6 litres qui roule 10 000 kilomètres, ne requiert que 0,41 hectare de surface terrestre pour générer l’énergie nécessaire à son fonctionnement."
La suite ici, il faut continuer à chasser les papillons, au moins pour préserver la biosphère.
2 commentaires:
J'ai toujours détesté les chiens. J'ai toujours trouvé déplorable les gens qui remplacaient toute relation humaine par leurs animaux de compagnie.
Les égouts sont pleins de crocodiles qui ne se sont décidément jamais pliés au jeu de l'amitié humano-animale. Y'a qu'à voir notre poisson. Les enfants l'ont regardé au moins 5mn avant de s'en désintéresser complétement.
Et ma collègue qui a du s'arrêter un jour, revenir vivre chez ses parents pendant une semaine, parce que son chat était mort et qu'elle ne pouvait plus vivre dans les endroits où elle le revoyait vivre, ses endroits de sieste, le mur où il faisait ses griffes...la balle avec laquelle il avait joué...
Non décidément les animaux de compagnie, c'est pas mon truc. Maintenant je peux clamer que je suis écolo en n'ayant pas de chien. Le top! Me voilà déculpabilisée.
C'est rassurant aussi de ne pas avoir à remplir et compenser un vide affectif par l'amour d'un chat, d'un poisson bleu, d'une écrevisse ou d'un varan de Comodo. Que les nains trouvent ici assez d'amour à donner et à recevoir, c'est plutôt chouette, et ça permet d'être vraiment écolo à l'heure du sommet de Copenhague.
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