mardi 20 juillet 2010

De la nécessité du choix


Choisir une porte, de préférence la bonne,
choisir son chemin, de préférence le sien,
en imaginant qu'il suit celui des autres en rails qui focalisent vers un point unique de non-retour.

Paraît que les mecs se plaignent tout le temps.
Paraît que je me victimise en permanence.

N'empêche, je pense avoir été discret et pudique.
Je pense ne pas saôuler ceux qui viennent cliquer par ici avec mes petits bobos.
Je ne veux pas décevoir mes chers lecteurs en sombrant dans la complainte égo-centrée. Parce que certains viennent de loin, pas plus tard qu'il y a pas longtemps, des amis expat's à Abbu Dhabi m'ont appris que ce blog était aussi connu à San Diégo !

Si tout va bien, si Dieu le veut, si les astres sont avec moi, vers midi aujourd'hui, je devrais être déplâtré de la main droite, après huit semaines de d'immobilisation. Franchement, mieux vaut être gaucher que droitier contrarié. Demandez-donc à Fantômette, notre seul pilote automobile depuis tout ce temps, quand en plus le lave-vaisselle nous lâche lâchement !
Merci à elle d'avoir supporté tout ça.
Merci à elle de me supporter encore un peu.

Merci à Dieu de me rendre l'usage de ma main, et qu'il m'explique de vive voix, parce que j'ai vérifié et les Saintes Ecritures n'en disent rien, qu'il m'explique donc pourquoi, sur un pantalon de fille, le bouton est cousu à gauche, et à droite sur un pantalon de mec !

4 commentaires:

Tatiana a dit…

De jolies couleurs et une belle lumière !

Fantomêtte a dit…

La liberté à nouveau! C'est super! je ne t'en veux de rien en tous cas! C'était rigolo d'être le seul pilote, méfie toi que je n'ai pas trop pris d'habitudes :)

'Tsuki a dit…

C'e'st vrai que àa ne fait pas si longtemps que cela que je suis ce blog, mais j'ai quand même un peu diggé, et je n'ai pas eu l'impression que tu faisais dans le léchage de plaies en public à travers tes écrits ou tes photos... Non, non. J'espère que tu continueras quoiqu'il arrive ; tu as une écriture bien agréable à lire.

Fabien a dit…

Faute de libération, on passe à l'attelle ,-(
Patience et longueur de temps sont parfois source de force et de rage comme disait le lièvre en savourant sa soupe à la tortue.