Remember nos séries des 14 et 15 octobre sur la vie de la plage.
La série continue, il suffit d'ajouter un ballon, et de la poussière.
3 commentaires:
Fantômette
a dit…
Un peu verte quand même quand je crois jouer au volley dans notre vie de savoir qu'encore une fois je suis sensée m'éloigner, n'être pas comme il faut, où il faut, de devoir rassurer tous les jours pour que cela ne serve à rien.
Dust ball, soulever la poussière par l'énergie qu'on dépense à profiter de la chaleur du soleil, des mots-rubans et des mots-ribonds, nuées de mots qu'on confie au vent en pensant à la serviette sur laquelle ils vont se poser. L'orpailleur ramasse paillettes et pépites d'or avec des bouts de moquette usagée.
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Un peu verte quand même quand je crois jouer au volley dans notre vie de savoir qu'encore une fois je suis sensée m'éloigner, n'être pas comme il faut, où il faut, de devoir rassurer tous les jours pour que cela ne serve à rien.
Dust ball, soulever la poussière par l'énergie qu'on dépense à profiter de la chaleur du soleil, des mots-rubans et des mots-ribonds, nuées de mots qu'on confie au vent en pensant à la serviette sur laquelle ils vont se poser.
L'orpailleur ramasse paillettes et pépites d'or avec des bouts de moquette usagée.
ouh là là, Ca m'a l'air bien fatiguant tout ça ! Je préfère boire le petit apéro local à une terasse avec vue sur mer !
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