vendredi 4 janvier 2008

Sans équivoque


La Casa de Pilatos à Séville, encore elle.

Le poids de la distance et de l'absence, la légèreté du cœur et les ailes qui demeurent déployées.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Maintenant il est temps de s'envoler...vers l'Italie!

Fabien a dit…

L'Italie comme étape seulement, parce que l'envol entamé est celui d'une vie, chère Ange.