samedi 30 août 2008

Chaleur, enfants et farniente



Avertissement à nos jeunes lecteurs

On me souffle à l'oreillette, par l'entremise de la voix d'une jeune femme qui a la fâcheuse habitude d'embarquer mon briquet à chaque fois qu'elle me croise malgré le confort que lui procurent ses conséquents revenus et une aisance financière concrètement affichée grâce à sa carte Gold, que je devrais veiller à ne pas passer pour un coureur de jupons invétéré et invertébré auprès de mon nombreux fan-club lecteur de ce blog.
Aussi rappelle-je ici qu'il s'agit d'une œuvre purement fictionnelle d'une haute tenue construite jour après jour dans l'unique but de connaître mon jour de gloire et de consécration littéraire par l'intronisation au sein du club très fermé des Petits Hommes Verts de la Coupole, et non le journal intime d'un Don Juan consumériste et suburbain du XXIe siècle.
On a des principes, tout de même.

4 commentaires:

fan a dit…

Je suis certaine que, tout comme moi, elle s'aperçoit de sa méprise une fois seule, en allumant une cigarette... et zut, je lui ai ENCORE piqué son briquet... et même les mois sans découvert! ;o)

Anonyme a dit…

Mais elle repasse les chemises
Mais elle repasse les chemises
Mais elle repasse les chemises

Anonyme a dit…

Euh.. je n'ai pas tout saisi là ;))) j'aime l'ambiance de la photo par contre ;)

Fabien a dit…

Fan, je ne sais plus si c'est Freud ou Saint-Augustin qui voyait dans cet "emprunt" du briquet le feu de la passion que l'on rallume auprès de l'autre, répondant à l'oubli de boucles d'oreilles sur la table de chevet ;-)

Il n'y avait rien à saisir, Tatiana, juste a joke sous forme de mise au point avec une jeune femme dont je narre ici souvent quelques fragments de vie à lire au 3e degré minimum, ou qui m'inspire parfois quelques sujets de délires, à moins de passer pour un sale misanthrope, une jeune femme qui "repasse (aussi) les chemises".