lundi 8 septembre 2008

Choisir d'oublier ses douleurs

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Et les diluer dans l'ether d'une nouvelle (en)vie.
Nat

Fabien a dit…

C'est bien parce que c'est la vie d'ici et maintenant, et celle de demain en envies, qu'on peut tourner le dos aux douleurs passées et à ceux qui nous les ont infligées en angoisses portées qui n'étaient pas notres.

Anonyme a dit…

Parfois j'ai encore peur que le téléphone sonne, comme ce matin, annonciateur de nouvelles que l'on n'a pas envie d'entendre. Il faut profiter de tous les instants de bonheur qui se présentent car tout peut basculer si vite.
Je veux savourer tous ces moments avec toi et oublier dans tes bras l'espace d'un instant que la vie peut être si courte.
Je veux aller à Rome, à Istanbul, à Samarkand, prendre le transiberien, me prélasser dans l'herbe, gravir une montagne, déjeuner à midi, découvrir les arrières boutiques, bouquiner, regarder un film, sécher tes larmes, panser tes plaies, jouer avec tous, parler de rien et de tout, et puis m'endormir toutes ces nuits dans tes bras et me réveiller à tes cotés.
Tant que la vie nous le permettra, le plus longtemps possible que tu le voudras.

Fabien a dit…

Même si on sait que "toujours" peut exploser en plein vol, même si on sait que "toujours" peut être abattu en plein vol, il est des mots que l'on craint de prononcer quand l'envie de les souffler à l'oreille nous étreint.
Tant que la vie nous le permettra, tant que nos chemins resteront associés pour tracer un sentier commun que nous empruntons dans la joie, le bonheur, et l'amour de tous, tant que tout cela existe, j'ai aussi envie de ça, et de beaucoup plus encore.
Je suis avec toi dans ces moments difficiles.