Il y a des beautés que l'on a contemplées.
Il y a des visions que l'on aime à se remémorer en fermant les yeux.
Il y a des mains dont on sait qu'elles vous accompagnent à tout moment.
Des instants pas plus grands que ceux de Planck, mais dont la lumière se réfléchit à l'infini.
Tout cela nous aide à sourire le matin, à trouver le courage d'affronter nos peurs.
Fantômette du vendredi
8 commentaires:
Il y a le turquoise des yeux par lesquels on aime voir et se voir, qui teinte chaque instant d'une touche unique, filtre fragile qui donne à la vie des couleurs uniques.
P.S. C'est qui ce Planck ? Un nouveau aux Relations Industrielles ?
Planck c'est ça:
Quantum d'action, la constante de Planck vaut 6,626 10-34 J·s (joule·seconde)
C'est le plus petit "temps" qui puisse exister.
Espérons que pour les relations industrielles, ils s'en inspireront ce soir, pour la plus petite réunion qui puisse exister!
Pfouhh, fastoche.
...Et voilà comment le chronon ou encore le déplacement solitaire d'un photon dans le vide devient d'un romantisme absolu ! Je le répète chaque jour la physique quantique n'a pas encore livré tous ses secrets ! :)
Certes, et c'est peut-être triste de se dire qu'on a plus vite fait le tour du romantisme et des sentiments que d'une physique qui fait tenir l'univers depuis si longtemps.
C'est pas ce que disait d'ailleurs la "Bombe humaine" de Téléphone quand j'avais encore la vie devant moi et l'illusoire de penser la réussir ?
Et moi je crois avant tout... que toutes les choses naissent du besoin et de l'envie de les voir vivre !
Je suis d'accord, jusqu'au jour où on prend conscience qu'il vaut mieux ne croire en rien pour se protéger.
Bien à toi.
Ah Fabien ! mais la vie ça remplit ça vide ça remplit les vides et ça nous remplit de vide... se protéger c'est s'interdire la souffrance mais aussi les bonheurs... ne plus croire c'est renoncer à vivre ou se condamner à ne plus rien vivre ... et la souffrance ça n'arrive qu'aux vivants ! ;))
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