mercredi 3 novembre 2010

Autoportrait à la courge et autopromotion professionnelle





Souvenez-vous qu'il n'y a pas si longtemps, cliquez ici pour le vérifier, je vous narrais avec force détails et la verve poétique qui me caractérise, comment j'avais été interviewé par la presse féminine.
Ben voilà, dans le fleuve parfois rapide et mouvant qu'est ma vie,  j'en avais oublié de vous signaler la parution de cet entretien qui à coup sûr changera la vie de l'ensemble des futures catherinettes qui me liront, et j'assure du même coup mon auto-promotion éditoriale, parce qu'en dehors de délires verbeux et de quelques photos que j'expose ici dans la plus totale indécence, je fais, aussi, des choses sérieuses à côté.
Des fois.


Bien que ne percevant malheureusement aucun droit sur les ventes, celles et ceux d'entre-vous qui souhaiteraient l'acquérir pour en découper la photo dont ils feront l'usage qu'ils souhaitent n'auront qu'à demander à leur buraliste préféré le numéro de septembre de Julie.

5 commentaires:

Elsaxelle a dit…

Impressionnée par tant de célébrité... si, si, si... Mes petites élèves vont donc se balader avec ton portrait sous le bras pendant les récrés. Ca c'est de l'actu ! Bonne reprise.

Fab a dit…

Quelle célébrité ? Et tu ne serais pas trop déçu si après enquête d'opinion, les lectrice de Julie préfèrent le contenu de l'article à ta photo ? :)
En tout cas respect pour ton sacrifice à des fins civiques

Fabien a dit…

Merci, merci, tant de gloire et de compliments me font chaud au coeur, une célébrité lentement construite, mais dont toute une génération se souviendra... ,-)

Pour info, Fab, la photo n'est pas de moi mais d'un photographe de presse.
Peut-être finira-t-elle sur l'affiche du Festival de Perpignan ;-)

Anonyme a dit…

moi je sais, moi je sais par qui t'as été pistonné pour cet article !!! et même que nous aussi on va le recevoir, parce qu'à 5 000 kms, Julie arrive aussi et l'école est abonnée ! bisous

Fabien a dit…

Bizarre qu'il ne soit pas passé, ce commentaire, dans lequel je disais que derrière ces mots anonymes, je croyais reconnaître Jim se cachant sous le voile pudique de la burka de sa (très future) femme ;-)